Moins doués que leur épouse, les pères ? Fatigués, stressés après le travail ? Un peu pudique, peut-être, quand il s’agit d’évoquer la transformation du corps ? Et pourtant, même si l’éducation affective passe d’abord par l’exemple, elle ne peut faire l’économie de la parole, de la parole du père. Pour les aider, quelques point de repères puisés au livre d’Inès Pélissié du Rausas S’il te plaît, parle-moi de l’amour.
Lisez la suite de cet article sur le site de Famille Chrétienne.