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				Oui, il est possible de choisir de ne pas avoir de relations sexuelles jusqu'au mariage, même si on en a déjà eues avant.   Chaque année, après les week-ends de préparation au mariage, des fiancés cohabitants font ce choix (pas tous !) et témoignent de la grande joie que ça leur a apporté
				
					
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				En Russie, traditionnellement, qu’on soit entre homme ou femme, tout le monde s’embrasse d’un baiser sur la bouche ! Cette pratique n’a pourtant rien d’indécent dans la mesure où elle est davantage signe d’entente cordiale, d’amitié et de convivialité. Le baiser à la Russe n’est donc pas un baiser « intime » mais plus particulièrement social.
				
					
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				On en fait une première expérience pour des raisons diverses : curiosité ou découverte brutale de sa sexualité, lectures, TV, entraînement avec les copains, solitude, compensation affective... 
				
					
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				La relation physique est un aspect privilégié de l’amour. On a tous conscience de son importance, d’abord parce que l’attirance sexuelle est inscrite en nous ; elle est voulue par Dieu qui bénit l’union de l’homme et de la femme (cf. Genèse 1,28). Ensuite, parce que c’est un lieu privilégié de la relation du couple, où les époux se donnent dans la joie l’un à l’autre, et à partir duquel ils peuvent donner la vie à un enfant.
				
					
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				Il est difficile de répondre à cette question.   Il est évident qu'il ne faut pas toucher les parties intimes car les réactions en chaîne que produit le corps peuvent vous amener à une relation sexuelle. 
  Les fiançailles sont un temps où on apprend à connaître son corps et à voir comment il réagit aux caresses de l'autre. C'est donc aux fiancés de se fixer ensemble des limites en fonction de ce qu’ils ressentent. 
				
					
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				Nous vivons à une époque où la relation sexuelle a été à ce point banalisée que beaucoup la considèrent comme « normale » dès qu’un couple se forme et se dit son amour. Plus besoin d’engagement ni même de projet à long terme !  Pas mal de jeunes, pourtant, veulent vivre leur sexualité dans une relation stable et durable, et choisissent d’attendre le mariage avant de se donner physiquement. L’union physique est alors l’expression d’une alliance définitive de deux personnes, cœur, esprit, corps. 
				
					
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La sexualité et l’amour sont indissociables. L’union sexuelle a besoin du cadre d’un amour fidèle et solide (CEC 2337). 
				
					
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				Merci, Benoît XVI d'avoir réconcilié l'Eros et l'Agapé. Dieu est amour,  première encyclique du pontificat de Benoît XVI, débute par un lumineux  rééquilibrage de la vieille opposition entre amour sensuel et amour  divin. Le pape nous libère dans ce texte d’une lutte stérile entre la  chair et l’esprit, l’éros et l’agapè. Un précieux héritage.
				
					
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				« Mon mari se connecte sur des sites pornographiques sur Internet. Ferait-il soudain une crise d’adolescence ? Y a-t-il en lui un vicieux, un pervers que j’ignorais ? Comment peut-il y trouver de l’intérêt ? Les hommes seraient-ils naturellement voyeurs ? »
				
					
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				Le concept d’homosexualité, inventé au XIXe siècle, ne se trouve pas  dans la Bible. Plusieurs textes bibliques parlent en revanche des  comportements caractéristiques de l’homosexualité. 
				
					
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				Regarder un film érotique ou une revue porno, cela fausse le regard et rend incapable d’avoir une relation normale avec les hommes ou les femmes. Cela détruit l’amour.
				
					
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Dans l’histoire d’un couple, sa vie sexuelle n’est ni immuable, ni parfaite ; elle évolue, se transforme, est déstabilisée par la vie quotidienne. Une aventure dans laquelle les méthodes naturelles de régulation des naissances sont un atout indéniable.
				
					
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Mon copain et moi avons déjà eu des relations sexuelles et je le regrette. Que nous conseillez-vous ? 
				
					
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				« Notre aumônier nous a parlé de la retenue à avoir entre garçons et filles…mais ce n’est pas dans l’air du temps. Je vais avoir l’air d’un vieux garçon. »   
				
					
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Interview de Bénédicte Lucereau, conseillère conjugale et familiale
  ROME, Lundi 31 janvier 2010 (ZENIT.org)  - Depuis 40 ans, la contraception chimique est présentée comme  « facile » et « libératrice », mais aujourd'hui, de plus en plus de  femmes souhaitent se libérer de la pilule et cherchent à vivre « leur  féminité de façon naturelle ».
 C'est  en partant de ce constat que Bénédicte Lucereau, conseillère conjugale  et familiale, thérapeute de couples et de familles au Cabinet Mots Croisés, à Paris, a publié Se passer de la pilule, c'est possible ! - Les secrets d'une sexualité épanouie (Editions de l'Emmanuel, 2010).
 Elle  évoque pour ZENIT le « chemin » emprunté par celles qui ont choisi la  méthode de régulation naturelle des naissances, qu'elle présente comme  un « nouvel art de vivre en couple ». Nous publions ci-dessous la  deuxième partie de cette interview (pour la première partie, cf. Zenit  du 25 janvier).
 
				
					
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				Sur le site des « Chrétiens de gauche »,  ce matin, un billet de     René Poujol. L'ancien rédacteur en chef du journal Pèlerin, que j'ai  eu le plaisir et l'honneur d'avoir dans mon émission de radio chaque  lundi durant de nombreuses années, publie un billet que je vous invite à lire,  sur la     responsabilité, selon lui immense, de l'Eglise catholique dans la  durable fâcherie de bon nombres de chrétiens avec l'institution  catholique. Je voudrais ici apporter mes propres réflexions sur     le sujet, à la lumière de mon expérience personnelle.
				
					
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De l'éveil érotique au rapport sexuel, que se passe-t-il dans le  corps de l’homme ? Explications étape par étape de ce scénario dont vous  êtes le héros. Un film tout public qu'apprécieront aussi les cinéphiles  femmes.
Avant-première : la naissance du désir
Au départ, il peut y avoir simplement la vue de jolies jambes en  jupe  courte, d'une belle poitrine ou d’images provocantes. A tel point  que l'on pourrait considérer l'oeil comme le premier organe sexuel de  l'homme. Mais ce peut être aussi  l’imagination ou le rêve érotique, le  simple souvenir de relations  sexuelles. Ou bien sûr un contact, un  baiser, une caresse.
 
 
Toutes ces stimuli, qui passent souvent par les cinq sens, sont   transmis par le système nerveux au cerveau qui les décrypte et y   reconnaît la plupart du temps une excitation sexuelle. Le cerveau est  donc le grand centre de commande des opérations !                                                           
 
A  noter d'ailleurs qu'il n'interprète pas toujours les choses de la même  façon : pour un  homme, telle situation, tel parfum, telle image sera  excitante, alors  qu'elle n'agira pas sur un autre. Pourquoi ? Parce que  le cerveau  brasse une quantité de données conscientes et  inconscientes, liées à  notre passé, notre culture et nos expériences.  Des souvenirs peuvent donc inhiber des stimulations sexuelles. Ou les  enflammer.
 
 
Scène 1 : ça démarre très dur
Si le cerveau reconnaît une 
stimulation sexuelle, il transmet le message  à un centre réflexe de la colonne vertébrale qui provoque, la plupart  du temps, 
une érection. Le sang afflue dans les tissus (dits  "spongieux") qui constituent le 
pénis (ou verge ou  phallus). La pression du sang le rend rigide et le fait   augmenter un peu comme un ballon que l'on aurait gonflé. Il se redresse   aussi sous l'action d'un muscle qui le parcourt tout du long.                                                             
Le  corps se prépare, déjà, pour une éventuelle 
relation sexuelle,  c'est  clair. Pourtant, à ce stade, le film est loin d'être joué. En  effet,  l'érection n'est qu'une action réflexe à une stimulation.  Vous  ne pouvez pas l'empêcher ! Par contre, vous pouvez écarter la   stimulation sexuelle (en détournant le regard, en abandonnant vos   rêveries), pour faire cesser l'érection.
 
 
 
On peut aussi avoir une érection sans stimulation érotique au  départ.  Par exemple au lever, lorsque la vessie est pleine, ou après un  effort  athlétique intense, ou durant un rêve.            
L'inconscient peut même  déclencher pendant le sommeil une éjaculation, un "rêve mouillé" dit-on, fréquent à l'adolescence et signe que tout "marche" bien.             
 
Il suffit de ne pas  tenir compte d'une érection "non-sexuelle" pour qu’elle disparaisse  d’elle-même. Sortie de scène.
 
 
Scène 2 : Y a-t-il un pilote dans l’avion ?
Mais reprenons le film avec une vraie scène d'amour. Vous êtes   dans les bras de votre chérie et  vous êtes excité mais là encore, vous   pouvez tout à fait rétrograder en stoppant les caresses et les baisers.   A ce stade, votre volonté peut encore prendre  les commandes,  notamment si votre partenaire ne veut pas de rapport  sexuel ou qu'il ne  vous paraît pas opportun.                                 Alors, feu  vert ou feu rouge ?                    
 
Feu vert ? Si  poursuivez les stimulations sexuelles, en particulier  des caresses sur les zones érogènes (sources de plaisir ++), alors vous  n'allez pas tarder à perdre le  contrôle de la situation. Ou plutôt,  votre corps va prendre les  commandes. Non seulement l'érection se  poursuit, mais elle s'accompagne  d'une accélération  du pouls, d'une élévation de la tension, souvent  d'une  respiration bruyante, d’une tension musculaire, d'un rougissement  de la  peau. A un moment, l’éjaculation  sera inévitable.
 
 
Scène 3 : la danse des deux plateaux
Combien de temps un homme peut-il maîtriser son excitation  sexuelle avant l'éjaculation ? C'est une vraie question car l'homme et la femme n'ont  pas le même  "profil" d'excitation sexuelle. La femme, elle, voit monter  aussi  l'excitation, mais peut rester longtemps dans cet état  stationnaire.  Sur la courbe du plaisir, on observe un long plateau avant le  pic  final. Tandis que l'homme, lui, a un plateau  stationnaire plus court et  arrive en général plus vite à l'éjaculation  et à l'orgasme.                                                  
 
Très   enflammé et par inexpérience, le jeune amoureux a donc tendance à  aller  trop vite vers la pénétration et l'éjaculation, tandis que la  femme,  souvent, n'est pas encore prête : ce problème d'éjaculation précoce est fréquent mais dans un  couple, il peut être surmonté si l'homme et  la femme  prennent le temps de se connaître sur le plan physique en  exprimant  leurs désirs et en apprenant à "s'attendre".
 
 
Scène 4 : les spermatozoïdes se préparent en coulisses
 
Lors de l’excitation, les 
spermatozoïdes, fabriqués dans les 
testicules et stockés dans l'
épididyme (
voir schéma ) entament un voyage dans le long "
canal  déférent".  Au passage, par un concert de contractions, ils se mélangent  à deux  liquides : le liquide séminal (sécrété par les vésicules   séminales) et  prostatique (sécrété par la prostate). Ce mélange  constitue le 
sperme,  la semence fertile de l’homme.                                                  
 Mais le sperme qui se forme ainsi ne fait pas encore son entrée en   scène. Tant que l'homme n'éjacule pas, il ne s’échappe pas dans 
 l'urètre (le canal qui parcourt le pénis), car il reste bloqué  sous la   prostate par un genre de clapet, le "sphincter urétral". L'urètre étant   l'unique conduit permettant l'évacuation, la nature prend soin   d'interdire également la sortie de l'urine en fermant les sphincters de   la vessie depuis le tout début de l’excitation.                                                   
Par  contre, dès le début de l’envie sexuelle, deux 
glandes dites de  "Cowper" situées sous le sphincter urétral secrètent un liquide qui  vient  nettoyer  et lubrifier l’urètre ainsi que le gland, et enlever  toute  trace d'urine. L’homme n'a pas encore éjaculé mais peut constater  un  suintement de ce 
liquide "pré-séminal".  Attention : quelques  spermatozoïdes peuvent y être déjà égarés et un  contact intime avec les  organes féminins peut provoquer une  fécondation, même sans pénétration  !                                                   
 
 
 
Scène 5 : happy end vers le 7ème ciel !
Finalement, l’excitation sexuelle perdurant et le sperme  atteignant  environ 3cm3, le sphincter qui le bloque est forcé de  s'ouvrir et c'est  l’éjaculation.  L'homme sent une série de spasmes  musculaires et le jaillissement du  sperme par l'urètre. Il est incapable d’arrêter  l’éjaculation. C’est un  temps de libération et de plaisir intense  (orgasme).                                               
Assez vite, le sang se retire du pénis qui commence à  diminuer de volume : c’est la détumescence. Si l'homme porte un  préservatif,  il doit se retirer rapidement pour ne pas laisser échapper  de sperme  dans le corps de la femme. Puis vient un relâchement de la  tension très  marqué, le corps se détend. S’ensuit une période, variable  d'un homme à  l'autre ou d'une fois à l'autre, pendant  laquelle il ne peut être  excité sexuellement. Cela peut durer 10 à 15  minutes, jusqu'à plusieurs  heures ou même une journée.
 
 
Générique final : le cerveau superstar
Le mécanisme de l'érection et de l'éjaculation se déroule  de la  même façon qu'il ait lieu dans le corps de la femme (lors d'un  rapport  sexuel complet) ou en dehors, s'il y a eu masturbation.                                             
 
Avec  une différence importante : la satisfaction tirée de  cette union est  bien supérieure si l'homme peut la partager avec la  femme qu'il aime et  qu'elle aussi en tire du plaisir. La jouissance  physique s'enrichit alors d'une autre dimension pour devenir... de la  joie, qui fortifie la relation amoureuse.                                             
A  nouveau, toutes ces sensations et ces émotions remontent au cerveau   qui en fait lecture et permet à nos acteurs d’accomplir certains gestes   ou de les refuser, bref, d’être maîtres de leur corps.
 
 
 C'est toute la  différence entre l’animal, totalement soumis à  l’instinct de  reproduction au moment du rut, et l'homme, qui peut  interpréter et  gérer ses pulsions sous la direction du grand metteur en  scène  cérébral.
 
Article écrit pour le site reussirmavie.net
				
					
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Résumé :  Le corps est pour le Seigneur et le Seigneur est pour le corps. 
  La réciprocité exprimée dans la splendide affirmation de saint Paul est un mystère qui élargit toutes nos perspectives et qui constitue une formidable libération pour le corps. 
  Mon but est simplement d'inviter à penser et à se libérer d'un culte du corps fermé sur lui-même. 
				
					
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				La chasteté, qui n’est pas la continence, entraîne à une révision  parfois inattendue de nos comportements. Car la sexualité influence  toutes nos relations. Petit examen de conscience.
La chasteté n’est pas la continence, mais au contraire l’exercice le plus juste possible de la sexualité.  La sexualité n’est pas la seule génitalité, mais la manière féminine ou  masculine de vivre la relation aux autres. La chasteté concerne donc  notre vie amoureuse, mais plus largement toutes nos relations. Quelques  implications concrètes.
				
					
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				La chasteté, qui n’est pas la continence, entraîne à une révision  parfois inattendue de nos comportements. Car la sexualité influence  toutes nos relations. Petit examen de conscience.
La chasteté n’est pas la continence, mais au contraire l’exercice le plus juste possible de la sexualité.  La sexualité n’est pas la seule génitalité, mais la manière féminine ou  masculine de vivre la relation aux autres. La chasteté concerne donc  notre vie amoureuse, mais plus largement toutes nos relations. Quelques  implications concrètes.
				
					
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